Un courtier en affaires est une personne qui aide à l’achat et à la vente d’une entreprise.
Un courtier en affaires agit comme un courtier en valeurs mobilières qui vous aide à acheter et à vendre des actions de sociétés en bourse. Le courtier en affaires est comme un intermédiaire qui relie l’acheteur et le vendeur et les guide pour conclure une affaire favorable pour les deux parties concernées.
La création d’une société de courtage en entreprise nécessite plus de connaissances et de compétences que de capital. Les compétences requises pour devenir un courtier en affaires prospère seront le contenu principal de cet article. À la fin de cet article, vous devriez savoir ce qu’il faut pour devenir un courtier en affaires prospère.
5 compétences dont vous avez besoin pour devenir un courtier en affaires prospère
Compétence de vente
C’est la première compétence dont vous avez besoin en tant que courtier en affaires. Si vous devez réussir en tant que courtier en affaires, vous devez avoir les compétences et la capacité de convaincre les gens d’acheter ce que vous avez à offrir.
Posséder des compétences de vente implique de faire voir à l’acheteur potentiel ce qu’il a à gagner en achetant votre produit et enfin de transformer l’acheteur potentiel en un acheteur enthousiaste qui est prêt à glisser sa carte de crédit et à effectuer un achat immédiat.
Techniques de négociation
C’est une autre compétence d’importation dont vous avez besoin en tant que courtier en affaires. Vous devez savoir comment bien négocier, c’est-à-dire amener l’acheteur et le vendeur à s’entendre sur des conditions et un prix favorables qui soient acceptables pour les deux parties.
Compétence psychologique
Le langage corporel d’une personne parle parfois plus fort que sa voix. En tant que courtier en affaires, vous devez savoir comment lire le langage corporel d’une personne pour obtenir un message caché que la personne ne fait pas passer; cela vous aidera dans vos négociations.
Prendre note de petits détails
Cette compétence consiste à prendre en considération chaque petit détail concernant l’entreprise ou la société du vendeur, ses conditions générales et les conditions de l’acheteur. Cela vous aidera à mieux conclure les affaires et à éviter de futures complications.
Maîtrise des émotions
Toutes les transactions ou négociations ne seront pas conclues en tant que ventes, quelle que soit la probabilité que cela puisse paraître ; savoir maîtriser vos émotions en tant que courtier en affaires même lorsque l’affaire n’est pas définitivement conclue constituera un avantage supplémentaire pour votre carrière.
Comment devenir un courtier en affaires prospère en 30 jours
1. Élaborer un plan d’affaires
Vous devez élaborer un plan détaillé sur la façon dont votre entreprise de courtier ressemblera. Travaillerez-vous seul ou demanderez-vous à des partenaires et à d’autres professionnels de travailler avec vous ? S’agira-t-il d’une entreprise individuelle ou d’une société de courtage ?
Quels objectifs voulez-vous atteindre au cours du premier mois et de la première année de l’entreprise ? Quelles sont les étapes à suivre pour atteindre ces objectifs ? Répondre à ces questions vous aidera à élaborer un plan pour votre entreprise.
2. Construire un portefeuille de vendeurs
Lorsque vous avez terminé d’élaborer un plan d’affaires, il est temps d’obtenir des propriétaires d’entreprise qui souhaitent vendre leur entreprise ou leur entreprise. Cela peut nécessiter beaucoup de recherches et d’informations pour obtenir des vendeurs qui souhaitent vendre leur entreprise.
Pour commencer, vous pouvez commencer avec dix ou vingt portefeuilles de vendeurs et vous devriez avoir au moins cinq vendeurs à votre disposition à un moment donné. Si vous vous construisez une réputation de courtier en affaires prospère, le propriétaire d’entreprise souhaitant vendre son entreprise viendra vers vous pour l’aider à trouver des acheteurs.
Notez également que c’est le vendeur qui sera responsable du paiement, la plupart des courtiers en affaires reçoivent un certain pourcentage du montant total de l’entreprise vendue sous forme de commission, et la plupart du temps, le pourcentage se situe entre 5 et 15 pour cent. Discutez et trouvez un accord sur votre pourcentage de commission avec le vendeur dès le début.
3. Obtenez des conseils professionnels de comptables
Dans la mesure où il est exigé que le vendeur vous fournisse toutes les informations dont vous avez besoin sur son entreprise ou sa société, vous pouvez exiger d’un cabinet comptable qu’il procède à une vérification des antécédents notamment sur la solidité financière de l’entreprise.
Ceci est pour confirmer que les informations correspondent à celles que vous avez car il est de votre responsabilité de confirmer les informations de l’entreprise avant de rechercher des acheteurs.
4. Trouver des acheteurs pour l’entreprise
Il est temps pour vous de rechercher des acheteurs pour les entreprises que vous avez à vendre dans votre portefeuille. Votre acheteur idéal devrait être un investisseur ; c’est quelqu’un qui a assez d’argent à investir et qui est prêt à racheter une entreprise qui rapportera des bénéfices à l’avenir ; ou une entreprise qui propose des produits ou des services similaires avec l’entreprise que vous essayez de vendre, qui est prête à acheter une entreprise similaire pour se développer.
Vous pouvez trouver cet acheteur dans les annuaires d’entreprises de votre région et dans les options de référence d’autres personnes de l’entreprise.
5. Processus de négociation
Une fois que vous avez trouvé un vendeur et un acheteur, il est temps de commencer le processus de négociation. Il vous appartient de fixer l’heure à laquelle les deux parties se rencontreront pour entamer le processus de négociation. Lors de la première réunion de négociation, il faut tout mettre sur la table pour que les deux parties voient.
Le vendeur doit communiquer à l’acheteur des informations vitales sur l’entreprise, notamment son dossier, ses états financiers et le montant qu’il souhaite vendre l’entreprise. L’acheteur, quant à lui, doit communiquer au vendeur combien il est prêt à payer pour l’entreprise et avoir également le temps de vérifier les informations qu’il détient sur l’entreprise.
La plupart du temps, le processus de négociation se poursuit pendant longtemps en fonction de la taille de l’entreprise et de la volonté des deux parties de parvenir à un accord. Une fois la négociation terminée et le processus de transfert ou de transition commencé ; vous, en tant que courtier, êtes payé.
Vous connaissez maintenant les compétences requises pour devenir un bon courtier en affaires et comment devenir un bon courtier en affaires. Vous n’avez pas nécessairement besoin d’un espace de bureau pour devenir courtier en affaires, mais le fait d’avoir un bureau physique ajoute de la valeur à l’image de votre entreprise.